A l’origine de l’OLTR – l’appel historique adressé le 1er avril 2003 par le Primat de l’Eglise russe, Sa Sainteté Alexis II, Patriarche de Moscou et de toute la Russie aux évêques, membres du clergé et fidèles des paroisses de tradition russe en Europe Occidentale.
Voir également:
La réelle souffrance des membres de l'entité ecclésiale dénommée « Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale – exarchat du patriarche de Constantinople » transparaît maintenant dans toutes ses parties. Elle se lit sur les sites internet, dans les blogs, s'entend dans les conversations, et s'exprime dans les rumeurs. Et tout le monde semble désemparé et désespéré par la situation qui s'est établie.
Sans doute faut-il, dès lors, se poser la question du destin de cette entité ecclésiale.
Préambule: L'OLTR propose de rediffuser un document de réflexion au sujet de l'Eglise-mère. Il s'agit d'une lettre ouverte de Seraphin Rehbinder, président de l'OLTR, à la paroisse de la Sainte Trinité dans la crypte de la cathédrale Saint Alexandre de la Néva, datant de 2012. Cette lettre avait paru sur un site, aujourd'hui fermé mais elle avait reprise sur le Blog "Parlons d'Orthodoxie"
Préambule.
A la suite de ce receuil d'impressions sur le congrès de l'ACER-MJO consacré au concile de Moscou, Matvei – c’était le pseudonyme d'une personne qui avait réagi à ce receuill d’impressions - avait écrit un message. L'OLTR a jugé intéressant de publier ce commentaire de Matveï et la réponse que proposa Gueorguy. Ce débat eu lieu, en octobre-novembre 2008, sur ce site,aujourd'hui fermé.
Recueil d'impressions
Le congrès de l'ACER-MJO consacré au Concile de Moscou de 1917-18
Préambule.
L'OLTR a décidé de mettre en ligne le texte "Recueil d'impressions" rédigé par Gueorguy après le congrès de l'ACER-MJO qui s'est tenu du 3 au 5 octobre 2008. Le thème de ce congrès était "Le concile de Moscou de 1917-18". L'OLTR comprend bien que ce texte n'est pas tout à fait récent mais il n'était plus disponible "en ligne" (le site sur lequel il était publié ne fonctionne plus). Le sujet est tout à fait d'actualité et l'OLTR estime très intéressant de proposer ce texte rédigé par l'un de ses membres.
Un nouvel ordre dans l'Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe Occidentale (exarchat du patriarche de Constantinople)
Le désarroi qui se manifeste, actuellement, dans l'Archevêché est véritablement poignant. Certains de ses membres ne comprennent pas ce qui leur advient sous l'autorité d'un nouvel Archevêque sévère, et perçu comme manifestant, à de nombreuses reprises, son caractère percutant. Le trouble est d'autant plus profond que l'Archevêque, apparemment soutenu par son Patriarche, semble, aux yeux de ces membres interloqués, vouloir détruire tout le « capital » amassé par l'Archevêché au cours de son histoire et que l'on s'efforçait de protéger contre l'autoritarisme supposé du Patriarcat de Moscou.
Les malheurs de l’église de Biarritz illustrent bien l’inconvénient qu’il y a d’avoir deux diocèses s’affirmant comme « russes », en France ; l’un reconnaissant comme son primat le Patriarche de Moscou, et l’autre, celui de Constantinople. Et nous n’évoquerons, ici, que les aspects pratiques, sans nous attarder sur l’anomalie canonique de cette situation.
Eglise orthodoxe Russe
Paroisse de la Protection de la Très Sainte Mère de Dieu
146 rue Sully 69006 LYON
dIOCESE DE cHERSONESE
Patriarcat de Moscou
Projet de restauration de la crypte (St-Joseph)
Lancement d’une souscription
Cette souscription a reçu la bénédiction de Mgr Nestor évêque du diocèse de Chersonèse.
Notre église, dénommée église de la Protection de la Très Sainte Mère de Dieu, est la première église orthodoxe russe créée à Lyon dès 1924 par la première vague de l’émigration russe à la suite de la révolution de 1917.
A sa création, en 1924, l’église se trouvait dans un immeuble très ancien situé au 13 rue de la Poulaillerie (Lyon 69002). Elle y restera 45 ans. La ville de Lyon déplacera ensuite deux fois la paroisse dans différents locaux.
In Memoriam Nicolas Ossorguine
" Je chanterai le Seigneur tant que je vivrai » (psaume 145)
Koliassia nous a quittés et il laisse, derrière lui, l'image d'un homme tout à fait exceptionnel. Durant la plus grande partie de sa vie, il a vécu quotidiennement tout le cycle des offices de la Sainte Eglise orthodoxe. On peut assister aux offices sans vraiment y participer. Lui, non seulement y participait, mais encore il les ordonnançait en tant que psalmiste de l'église Saint Serge. Cette familiarité avec les offices lui a permis d'en saisir toute la richesse accumulée dans les textes par des générations de moines qui les ont composés. Richesse qui découle aussi des règles qui régissent l'agencement de ces offices (l'ordo) où rien n'est dû au hasard mais tout découle de la Tradition de l'Eglise.
L’OLTR a annoncé son intention de marquer les dix ans de son existence par une prochaine table ronde. C’est, sans doute, le moment d’espérer que l’on comprendra mieux ses positions. Ce mouvement a, en effet, été voué aux gémonies par certains, non pas en raison des idées qu’il défendait, mais en raison des idées que l’on lui prêtait.
Nous vivons dans un monde où la diabolisation de « l’adversaire désigné » est devenue pratique courante, sinon règle générale. La diabolisation consiste à donner une forte connotation négative à « l’adversaire désigné » de façon à le faire apparaître comme « le mal » et ceux qui le combattent apparaissent, du même coup, comme les défenseurs du bien. La diabolisation s’obtient par divers moyens comme l’amalgame, les accusations mensongères ou pour le moins non vérifiées, la calomnie etc.